( A.O. : B. : R. Littérature ) cherche un livre...

[Je vais esseyer.]
*Pourquoi pas, mais laisse moi le temps de lire, tu m'a cacher la page!*
Lou put enfin commençer sa lecture.
"Il était une fois un pays, se pays était le plus et le plus puissant du monde.
Le roiétait fiere de son pays si riche et puissant.
Sa fierté le rendit fou!
Un jour il deçida de conquerir le monde, il entrainat une armée surpuissante, prete à l'invasion.
Son frère avait esseyer de l'empecher de commetre un telle acte, mas trop tard.
Avec l'aide de ces amis, lefrère du roi reussit à créer un monde parallèle ou la folie du roi n'existais pas.
Tout les etres pensant si refugière, même les couleurs!
Malheuresement le roi furieux tenta de conquerir se monde féerique, il reussit.
Juste après sa victoire le mnde tomba dans un chaos total.
Mais l'histoire peut etre changer une ancienne prophesie anonce l'arrive de deux jeunes filles au pouvoir sans limite qui changerait le cour de l'histoire au moment de sa modification....."
*Ouhao!*
Voila seulement se que put articuler Lou sous le choque!

[merci...]

*Bon, on y va?*
Lénore piaffait d'impatience. Sa soeur ayant lu les mots à haute voix, elle avait mieux saisie toute l'importance de la révélation. Peut-être que... Non, il ne fallait mieux pas y penser. Ne pas songer qu'elle et Lou pourraient être les deux jeunes filles dont parlait la prophécie.
Elle ne savait pas trop quoi emmener dans cette quête, n'y combien de temps elles seraient parties. De la nourriture? Mais inutile de se charger si elles reviendraient rapidement. Des armes alors, étant donné que le livre parlait d'une armée surpuissante? Et pourquoi pas toute une panoplie d'aventurière!
Elle se remontra intérieurement. Le meilleur moyen d'y arriver serait de rester soi-même. Juste soi-même. Se connaître mieux que jamais.
A nouveau, elle réintéra sa demande:
*On y va?*

*Ok!*
Les deux filles plongerent à nouveaux dans le livre et se retrouva exactement au même endroit que la fois precedente.
*Bon maintenat il faut que tu vienne dans ma dimension pour empecher le roi de l'envahire!*
Les deux jeunes filles se concentraire, et un nuage d'or apparus autour de Lenore qui reaparut immediatement, et avec toutes ces couleurs!
*Bon maintenat que fait on?*

*Tu l'as dit toi même. On empêche le roi d'envahir cette dimension. Et après, on renvoie tous les occupants de la première dimension dans la leur.
Seulement, là où ça pose problème c'est: comment on fait pour accomplir tout çà? Je ne sais pas trop. Dejà, on ne sait pas même quand le roi va attaquer.*
Un roulement de tambours dans le lointain lui répondit.
*Bon, ben maintenant on en a une bague idée. Après, on a un autre souci: si le monarque déboule avec une armée, on fait comment?*
A nouveau, il lui fut donné une réponse.

Un nuage de poussière se soulevait à l'horizon, chassé par un bruit martelant le sol. Thump, thump, thump. Un bruit pénétrant jusqu'au dans leurs moëlles, faisant vibrer leurs os. Thump, thump, thump. Un bruit de sabots sur l'herbe.
Les deux jeunes filles relevèrent la tête. Un escadron de chevaux galopaient vers elles. D'abord effrayées, elles eurent un moment de recul, puis constatèrent qu'ils avaient une expression amicale sur leurs visages. Derrière venaient une foule d'animaux en tous genres. Animaux des bois; animaux de la rivière; des airs. Toute une armée.
Lénore fut frappée par leur côté humain. Tous semblaient pleinement conscients du moment, et une étincelle d'intelligence brillait dans leurs yeux. Elle fut également surprise par leur dviersité: de la simple souris au cheval ailé en passant par le renard ou le centaure. Plus surprenant encore, tous arboraient une arme.

*OUah! T'as vu ça! Nous aussi on a notre armée!*

*La notre tes sur c pas plutot celle du frère du roi?*
Comme pour lui donner raison un homme d'un vingtaine d'ané s'aprocha des deux filles.
"Bonjour damoiselles.
Je suis Fréderic le frère du roi.
Que deux merveilles creature telle que vous faite ici?"
Les deux filles rougirent sous le compliment.
"J'aimerais repondre à votre question, mais vous risquer de ne pas nous croire, donc nous ne dirons rien."Dit Lou rouge comme une pivoine.
"Hum, je vois, repondit le prince, je ne vous ai jamais croiser qui ete vous?
Quelle sont vos nom et raçes, car vous ressemblez au humains, mais je ne suis pas sur que vous le soyer réllement."
*Doit on lui reveler notre identité ou pas?*

*Ben... Ca dépend si c'est un "gentil" ou un "méchant"! Mais vu sa tête, la réponse ne fait pas de doute...* , Lénore ironisa en croisant le regard de Lou empreint d'admiration pour le prince qui se dressait majestueusement devant elle.
"Pour ma part, je me nomme Eleonore Lyra Lùmen Silivren. J'appartiens à la race des Elfes; mais étant Soeur d'Âmes avec Lou, que vous voyez devant vous, je partage en partie ses origines humaines et nymphes. Celà répond-t-il à votre question?"

La jeune fille hésitait sur la conduite à tenir. Lui demander son camp? S'enfuir ou combattre à ses côtés? Il fallait agir judicieusement car le moindre faux pas pourrait être fâcheux.
Elle déglutit nerveusement à cette idée. En effet, elle n'avait nulle envie de finir sa vie, pouvant être immortelle, à ce lieu et en ce moment. Même en compagnie d'un prince, si charmant soit-il.

*On fait quoi? On lui demande son camp? De toute façon, à présent que nous lui avons révélé notre identité, autant continuer dans l'esprit que c'est notre allié.*
"En vérité, Prince Frédéric, quelquechose nous tracasse. Nous, ou plutôt je, viens d'un monde que toutes les couleurs avaient désertés. Nous avons appris que c'est en partie du fait de l'invasion imminente de votre frère, qui d'ailleurs aimerait projeter ses désirs de guerre sur cette terre que nous foulons au présent moment.
Alors, nous désirerions savoir si vous partagez les idées de votre frère?"

A cette question, le visage du prince, autrefois souriant et éclairé, se ferma.
*Peut-être suis-je allé trop loin?*
Néanmoins, Lénore sentait que cette question était importante. Autant vallait-il mieux distinguer tout de suite ses ennemis de ses alliés.

Le prince etait etonné par tout le savoir que c'emblait d'etenir cette elfe.
"Non je ne partage aucunement les idées de mon frère!
Il n'est pas mauvais dans le fond, mais le pouvoir la rendus fou, malheuresement."
Il se reouvrit et changea le sujet de la conversation.
"Vous dites etre ames soeur et donc nymphe?
Mademoiselle, dit il en se tournant vers Lou, ete vous nymphe?
Oui en partis, je suis my nymphe my humaine!
Et mon nom et Lou, tout simplement, nous les nymphes n'aimont pas compliquer les choses!"

"Et sans vouloir paraître trop curieuse ou vouloir vous offenser, pourquoi commandez-vous une armée et quels sont vos desseins?"

Lénore était rassurée sur au moins un point: le prince ne semblait pas partager les idées de son frère. Mais rêvait-il de plsu de grandeur, ou bien combattait-il l'ambition?
Sa question et la réponse faite ne tarderait pas à éclaircir ce point. Ce faisant, elle promena son regard sur la gigantesque armée attendant derrière Frédéric. Certains soldats semblaient s'ennuyer, d'autres les regardaient, sa soeur et elle, avec intérêt, ou bien encore certains avaient l'air de ne pas prendre conscience des deux jeunes filles discutant avec leur prince.
Ce dernier semblait raisonner sur l'attitude à prendre vis-à-vis d'elles. Il descendit de cheval et criant d'une voix forte qu'une pause de quelques instants était accordée, puis il revint vers elles.

"Pourquoi je commande une armée? Quels sont mes desseins? Ma foi, ils sont bien différents de ceux de mon frère. J'hésite encore à le combattre, car il n'est jamais bon que le même sang s'affonte. Néanmoins, à l'inverse de lui qui n'aura aucun scrupule à me tuer, je ne tente pas d'acquérir le plus de territoire possible, de soumettre un maximum de populations. Je ne partage pas ses idées. Mon premier dessein est donc de l'empêcher de réaliser ses ambitions, et il me semble qu'une armée sera sans doute nécessaire, n'est-ce pas?"

"Peut etre, repondit Lou, mais je trouve que les hommes font souvent la guerre.
Les nymphes sont simple et la violence ne les attire pas, je n'est jamais reussi à vous comprend vous les humains."
Lou était fatigué des guerres qui se derouler et celle la elle allait la prendre en main, plus vite se sera finis plus vite on feras la fete, et les nymphes elle adore la fete.

Mais les deux filles commençait à fatiguer.
"Prince, ma soeur et moi sommes fatigue de marcher pouver vous nous donner un cheval?"

"Et puis, encore plus radical, on ne pourrait pas encore prolonger la pause de quelques instants. Histoire que vous nous racontiez un peu plus ce que vous savez sur votre frère. Car, voyez-vous, nous sommes venues pour l'empêcher d'envahir cette terre, et un peu d'aide ne serait pas de refus!"

Devant l'air étonné du prince qui avait l'air de se questionner sur les capacités de deux jeunes filles qui prêchaient la douceur à la guerre, Lénore curt bon de préciser:

"Nous sommes des mages. Nous venons d'une école appellée Lumeïnyx, peut-être en avez-vous entendu parler?"
"Oui, oui. Lumeïnyx... Ca me dit quelque chose. Et puis, notre armée compte peu de mages, béni soit donc le hasard qui a fait croiser nos chemins. Je vais faire prolonger la pause. Asseyez-vous."

Ce faisant, il fit un signe discret de la main vers un page qui se tenait un peu en retrait. Celui-ci apporta des cousins, suivi d'un autre portant une table basse, encore un qui portait un plateau de friandises, tout un cortège de rafraîchissements et migniardises. C'était une symphonie de couleurs, un mélange exotique de saveurs, un cortège de sucreries fines et raffinées, qui démontrait mieux qu'un discours la richesse du prince.
Ce dernier s'assit et commença son récit sur son frère, le roi guerrier.

Lou en ecoutant le recit du prince, se mit à regarder les friandises.
Ces yeux s'illuminere en regardant les plats qui tronait sur la table.
Son nez sentait de delicieuse odeur inconnus, sa bouche se remplissait de salive.
La nymphe gourmande prit une assiete et commença à la garnire, elle se mit à manger.
Se repas contenait mille saveur, tout sens était en extase,et la jeune fille gourmande se regalait!
*Faudrat leur demander la recettes de tout ces plats!
Je ferais un malheure si jamais j'ouvrais en restorant!*

* Oui, en effet.^^*

Lénore également avait tenté les divers suprêmes gastronomiques que l'on avait fait apporté, et avait approuvé sa soeur dans sa résolution. En effet, tout était simplement délicieux. Le prince, lui, semblait presque lassé par ce déploiement, comme si la diversité innomable des mets ne lui convenait tout de même pas.
Il continuait son récit, piochant parfois parmi les plats proposés, mais sans vraiment de conviction. Il fallait manger pour vivre, et non pas l'inverse!
Sentiment que ne semblaient pas partager les deux soeurs, qui elles restaient sans voix devant le savoir étalé devant elle: tout ce que la Nature avait pu créer en son sein était confit, truffé, en pâté, en accompagnement, un assortiment à vous faire perdre la tête...ainsi que vos cinq sens! L'odeur suave qui s'élevait se chargeait de votre odorat, la vue de ces délices plus nombreux les uns que les autres de la vue; leur simple présence dans votre bouche vous faisait perdre le goût; les tintements des couverts d'argents sur les assiettes de porcelaine l'ouïe et les prélevements des fruits dans leurs coupelles, ou bien la caresse du tissu sous votre main banissait le toucher.

A présent, le prince semblait presque s'amuser du spectacle de Lénore et Lou qui, émerveillées, étaient réduire à la dure épreuve du choix parmi tous ces délices gastronomiques, conscientes que leur estomac ne sauraient tout supporter.

"Vous partagez mon point de vue j'espère?..."
*Mince! De quoi il vient de parler?*
"Heu... Oui, tout à fait!"

Lénore maudit au passage les délicieuses cerises, bien rouges et rebondis, qui l'avaient séduite et réduite à essayer de parler sans trop bafouiller, la bouche encombrée par ces petits fruits ronds. Elle s'en sortait dejà mieux que sa soeur, qui mordait à pleines dents dans un melon d'eau juteux, qui lui dégoulinait impercitiblement le long du menton.

"Et sinon, quel est votre plan d'attaque?"

Elle espérait ainsi faire diversion et sauver la mise à son infortunée et gourmande soeur, [Désolé! ^^] et la sienne par la même occasion!

[Pas grave!]
Lou était gave, elle arrivait à peine à manger, incroyable quand on la connais!
Elle ecouta le prince devoile sont plans de bataille.
"Nous encerclerons d'abord mon frère, avait il annoncée, ensuite nos magiciens et archer passerons à l'attaque.
Il turons le plus d'ennemie possible à distance, les guerriere arriveront ensuite, pour le corp à corp.
Et moi je chercherais mon frère pour le tuer.... Il prononças cette phrase avec degout et haine, la tristesse meller à sa voix emue les jeunes filles.
Un soldat pourrais le faire à votre plaçe? Demanderent les deux filles.
Non!
Ces mon combat! Et persone à par moi ne pourras accomplire cette tache."

Le silence de recueillement s'était établi suite aux dernières paroles du prince, chassé par la voix de Lénore. Tous sursautèrent, occupés à méditer sur le plan du combat ou sur la déclaration du jeune homme, qui paraissait vivre un cauchemar éveillé, mais n'en était pas moins déterminé.

"Je sais ce que vous ressentez. Et vous avez raison. Je sais aussi que vous devez maudire intérieurement mes paroles qui vous donnent raison ainsi qu'un devoir à accomplir, mais il ne peut en être autrement. C'était votre..."
Comment disait-on dejà... Vie? But? Destinée?...
"destin. Si vous ne réussissez pas, nul autre n'y parviendra."

Super, elle lui mettait la pression en plus.
Néanmoins, les paroles avaient une allure de prophécie, et prononcées par une Elfe, gardienne d'une partie des secrets des étoiles, elles n'en avaient que plus de poids.

"Sinon, il me semble que le plan tient debout, étant donné que l'armée ennemie est constituée d'une infanterie de force et de lanciers surentraînés, mais peu d'archers et cavaliers. Il faudra donc jouer sur notre mobilité. Pour ce fait, nous devrions prendre position à côté d'un lac, les harcelant jusqu'à ce qu'ils aient le choix de se rendre, périr par nos armes ou bien mourir noyés. Il faudra également abriter nos archers et mages. Puis, leur infanterie largement diminuée ne pourra subir les assauts répétés de notre cavalerie. Il faudra qu'elle soit harcelante, comme des moustiques dont on ne peut se débarasser et qui reviennent toujours vainqueurs. Enfin, notre infanterie les achèvera si besoin ait."

Ce faisant, elle avait tracé sur le sol meuble son plan d'attauqe à l'aide d'une brindille. De larges flèches indiquaient les déplacements nécessaires, et quelques pions colorés (cailloux et feuilles en tous genres) indiquaient la position des diffèrentes armées.

"Que nous dise les éclaireurs sur la position ennemie?"
"L'avant-garde n'est plus très loin."
"Il n'y a qu'à lui tendre une embuscade. Pour celà, appellez tous les archers, qui seront protégés par des cavaliers. Qu'ils se dissimulent et n'apparaissent qu'en cas de dernier recours. Ils doivent également entourer la cible à 360° pour que les ennemis ne sachent d'où viennent les flèches, qui donneront l'impression de les assaillir de tous côtés."

Le jeune prince était sufoquer des connaissance de guerre des deux jeunes filles.
Au palais les femmes ne penser qua se faire belle, et même les plus intelligente n'aurait pas su tenir une armée.
Ces deux filles était des perles!
Il devait les garder coute que coute, en plus de leur savoir il les trouver magnifique.
Il plaça cette idée bien au chaud dans sa tête et se concentra sur le plans de Lenore.

"Oui sa peu marcher je vais informer mon géneral immédiatement!"
Il fit signe au page qui se trouvait en retrait et lui donna des ordres perçi pour le general, sa tache terminer il se retourna versles deux jeunes filles.
"Je vais demander que l'on vous trouve une tente en attendant la fin de la bataille.
Non je prefere me battre avec vous, nous preferons voir de nos yeux que le plan se déroule bien!Dit Lou
Mais enfin deux jeunes filles comme vous, non se serez troumatisent! Et si mon frère vous voie il voudrat vous faire enlever!
Mais si il ne voie que deux animaux sans defense, il pensera que se sont les votres!
Oui surement sauf que vious n'ete pas des animaux!
C'est se qu'on va voir!"

Les deux filles se firent un clein d'oeil discret, puis elle se concentraire sur un animal inoffensif qui pourrait etre les animaux de compagnie du prince, à la fin de la transformation le prince avait devant ces yeux....

[A toi de choisir Lenore!]

Sa dernière métamorphose avait plutôt marquée Lénore. En effet, elle s'était malencontreusement transformée en biche, et l'expérience s'était avérée être assez...marquante. Surtout lorsqu'elle s'était retrouvée face à face avec un loup et une redoutable lionne.

"Non, moi je ne me transforme pas. Je garderais un capuchon baissé pour dissimuler mon visage mais je préfère garder forme humaine (pardon, elfe) au cas où... Mais que celà ne t'empêche pas de mettre ton plan en execution, Lou. Au contraire, je trouve celà une très bonne idée pour échapper au frère de Frédéric. Il faut juste me pardonner si je n'y adhère pas. J'espère que ça ne gênera personne. Je saurais très bien assurer ma protection par moi-même et ne m'exposerai à aucun danger inutile."

La voix déterminée n'admettait aucune réplique, même venant du prince.

"Mais merci pour la tente que vous mettez à notre disposition. Et pour le compliment... Lou, tu te métamorphoseras le moment venu, ou tu tiens dès à présent à t'entraîner dans ta nouvelle peau?"

"Oui je me tranforme maintenant, le problème c'est que je ne sais me transformer quand lionne seulement t'aurais pas une idée?"
Lou et Lenore se mit à réflechir mais c'est le prince qui touvat la réponce.
"Et si vous vous changier en aigle? Je ferais croire que je vous est aprivoiser!
Sa peut etre une bonne idée, si je ne vole pas je ne risque rien, bon j'asseye."
Lou se concentra sur un aigle, elle était un aigle, elle v'avait pas des bras mais des ailes, pas de bouche un bec, pas de pied des serres.
Petit à petit la transformation s'éxecuta, elle à la plaçe de la nymphe on découvris un magnifique aigle d'or.
*Alors je suis comment? Magnifique n'esce pas?*

"Super!"

C'était un euphémisme. Lénore ne put s'empêcher durant le reste du repas d'admirer sa soeur. Elle lui enviait cette facilité à se changer aussi facilement en animal, mais se consolait bien facilement en pensant à son propre rôle à jouer dans la bataille, à présent imminente.
Lou était plus vrai que nature, ce qui rassura sa soeur qui craignait que le submerfuge fut découvert.

"Mais, tu ne peux pas voler, si? Parce ce que en ce cas, il vaudra que tu restes à l'abri de situations dangereuses, la fuite par les airs étant la seule arme d'un aigle face à des humains."

Lénore ne voulant pas paraître en reste, elle murmura quelques mots et se vit couverte d'une splendide armure de combat. Elle avait été façonnée à la manière elfe: légère, mais plus résistante que n'importe quelle autre. Des plaques protégeaient son torse, ses bras et ses jambes, mais sans entraver la liberté de ses mouvements. Elle la sentait à peine, mais se sentait rassurée par le contact infime qu'elle exerçait sur sa peau: c'était la plus efficace des carapaces.
Pour l'instant, l'armure réfléchissait les rayons du soleil, miroir éclairant les alentours. Elle devra la recouvrir d'un manteau sombre pour passer plus discrète, sans oublier le capuchon pour dissumuler son visage.

"A présent, me voilà parée à mon tour!"

*J'ai peur que si je vole, je perdre ma concentration, et donc me retransformer.*
Elle esseya quand même et battit des ailes, et reussi à s'envoler.
Elle se posa sur le poigner du prince comme un aigle domestiquer.
*Demande lui si je pe rester poser ici.*

"Ma soeur me prie de vous demander si elle peut rester perchée sur votre poignée?"
"Heu...Oui!"

Frédéric avait l'air de se demander si l'aigle, bien que léger, comptait rester sur son bras durant toute la bataille où l'on aurait besoin de son aide. Néanmoins, dans l'immédiat, il ne paraissait pas gêner pas la présence de l'animal.
Lénore sourit. Le prince était comme la page d'un livre: on pouvait y lire tous ses sentiments et ses pensées qui s'y réflètaient au fur et à mesure de leur arrivée dans son esprit. Pour elle à qui on avait toujours recommandé de rester impassible et de marbre, quelles que soient les circonstances, c'était plutôt nouveau et divertissant.

"A votre avis, quand va commencer la bataille?"
"Je ne sais pas."

Le prince haussa les épaules, ramené à une dure réalité: celle des combats, du sang et de la mort; des cris des blessés suppliant qu'on les achève et des croassements des charognards venus se régaler.

"Mon frère se base sur une tactique simple: tout faire pour surprendre l'ennemi. Dans notre cas, qu'est-ce qui nous effraierait le plus?"
"Bonne question... A laquelle je n'ai pas la réponse!"

Lou écoutait silencieusement (comme si elle avait le choix) la discusion entre sa soeur et le prince.
*Je ne sais pas non plus, mais restons sur nos gardes.
Demande au prince si il à poster des gardes au abord du camps, si non qu'il le fasse tout de suite!
Et si oui, ils faut qu'ils restent toujours en eveille, le roi attaquera surement de nuit, sa marche mieux pour l'effet de surprise.*

Lénore retransmit la requête de sa soeur au prince, qui acquiesça.

"Pour les sentinelles, c'est déjà fait, mais je crois que je vais renforcer la garde. Sinon, ça ne m'étonnerait pas que mon frère attaque de nuit, c'est une excellent idée que vous avez eu là, damoiselle."
"D'accord, mais en attendant, on fait quoi? Il faudrait peut-êre élaborer un plan pour les cueillir sans difficulté à leur arrivée... Que pensez-vous de çà: on déserte le camp, mais en faisant croire qu'il est toujours habité. Nous nous cachons dans les bois qui nous entourent. L'armée ne votre frère croiera nous prendre par surprise, elle entrera sans méfiance; puis, dès que nous voyons qu'elle a pénétré dans le camp, nos archers leur envoient une décharge de flèches enflammées tels qu'ils n'en ont jamais vu! Pour aider, on pourra mettre de la paille un peu partout, et laisser des tentes facilement inflammables. Pour finir, nos cavaliers encercleront l'ancien camp, du moins ce qu'il en reste, et l'armée adverse ne pourra plus s'enfuir. Ils auront le chox entre rôtir ou affronter nos cavaliers, sachant qu'une bonne partie de leur force aura déjà péri par les flèches. Les fantassins sont vulnérables par rapport aux chevaliers, et nous pourront les écraser.
Alors, qu'en pensez-vous?"

Le prince reflechit.

"C'est parfaitement réalisable!
Nous laisserons une trentaine d'hommes pour faire croire à mon frère que nous campons toujours au même endroit.
Pendant se temps la les autres soldats sortiraient du camp en toute discression pour prendre plaçe autour du campement.
Très bonnei idée que vous avez eu la mademoisele!"

"Merci!"

Elle laissa le soin au prince de donner les instructions nécessaires. Déjà, le soleil se couchait, dardant ses derniers rayons sur le campement qui s'installait pour la nuit. Du moins, qui s'en donnait les apparences.
Elle, elle était fatiguée. Exténuée. Rompue. Elle remercia encore une fois mentalement le prince qui avait eu l'idée de mettre une tente à leur dispostion, et s'y rendit. Enfin, à leur, c'était un peu excessif. Elle ne savait pas si Lou viendrait la rejoindre, préférant peut-être rester au-dehors, élément plus naturel pour sa forme d'aigle. Mais elle restait mentalement nymphe et humaine. Elle ne tarda pas à laisser sur le côté ses pensées, préférant songer avec délice à la bonne couche qui l'attendait.
Néanmoins, elle ne put s'empêcher de frémir un instant à la pensée de l'armée adverse, si proche et pourtant invisible. Espéront qu'ils ne s'étaient pas trompés! Et que le plan fonctionnerait! Et s'ils décidaient de ne plus attaquer de nuit?...
Tant pis... Le prince s'en occuperait. Elle, son seul désir, s'était de s'allonger, se reposer. Elle ne put tout de même pas résister à l'idée de faire une dernière boutade à sa soeur:

*Alors, tu as tenté les asticots pour le repas? Enfin, vu ta taille, c'est plutôt le lapin cru qu'il faut...*

Elle l'imaginait, discutant tranquillement avec Frédéric, lorqu'elle recevrait le message impertinent de sa part. Mais ce n'était même pas sûr qu'elle était avec lui...
Pourquoi tout paraissait s'assombrir et se voiler? Et ses paupières qui se fermaient, impercetiblement. Une silhouette, qui venait l'accueillir. Morphée...

*Je dois te rappeler chere soeur que sous ma forme je suis beaucoup moins lourd que toi et donc un la pin me suffit enplemant alors que toi tu pourrais manger un elephant!*

Lou était fatigué elle aussi, mais bon.
Elle decida de se percher sur la tente de sa soeur pour dormir, elle s'envolat donc et se perchat sur le piquet de bois qui retenais la tente.
Le sommeil vient s'emparer d'elle au moment ou sa souer sombrait.