(E.: Mer d'argent) petite promenade matinale

*OK, j'y vais*
Anaé les suivit doucement, sans faire de bruit en utilisant ses competences elfiques, tout en relechissant a ce qu'elle allait bien pouvoir leur dire. Soudain elle eu une idée (faut en profiter ). Elle chercha à entrer en contact avec un dauphin(je suis une nreide alors c'ets pas dur..), et lorsqu'elle eut reussi elle lui demanda de sauter hors de l'eau plusieurs fois de suite, aprés quelques negociation il accepta et quand il sauta pour la première fois, Anaé qui etait deja assez prés du futur couple s'ecria

Oh regardez un dauphin....cest super rare d'en voir a cette epoque

Surpris, ils regarderent Anaé puis le lac, et pendant ce temps ses complices...(à vous!)

Lim jeta un coup d'oeil à Kadel et tous deux foncèrent.
Les deux loups poussèrent Yvänn qui tomba sur Lénore.
Le plan machiavélique avait parfaitement marché !
Manifestement les deux autres ne remarquaient plus la présence des complices.
*C'est bô l'amour....*

Tout s'enchaînait si vite que Yvänn ne savait plus quoi dire.
D'abord, certains élèves qui avaient l'air de comploter ou de se moquer de sa timidité, puis, Lénore qui devait lui dire quelque chose... Mais quoi ? Qu'est-ce qu'elle lui voulait ?
Bien qu'avec l'appréhension de se retrouver seul avec elle, il sentait sa poitrine se serrer rien qu'à cette idée... Mais... Pourquoi ?
Et puis ce dauphin s'amusant à bondir hors de l'eau, toujours plus haut, plus gracieusement... Et enfin...
Cette bousculade et cette chute...
Ayant été poussé par il ne sut quel être vivant, le jeune elfe entama une longue chute qui semblait ralentir au fur et à mesure qu'il se rapprochait du sol...
Chaque seconde fut décomptée, lentement, les unes après les autres...Il se sentait s'incliner de plus en plus. Il vit les yeux de Lénore s'écarquiller de surprise. Il l'entraîna dans sa chute et ferma les paupières, craignant un choc plutôt violent..
Quand il sentit la terre ferme s'aplatir sous ses paumes qu'il avait placé en avant afin d'éviter à la jeune fille une quelconque brutalité, il rouvrit les yeux et trouva face à lui une adolescente rougissante et légèrement décoiffée par l'action précédente..
Son visage à quelques centimètres du sien, sa respiration complètement désordonné et son coeur cognant dans ses côtes comme il ne l'avait jamais fait auparavant, les joues du jeune homme rougirent à toute vitesse.

"Ah ! Je... ! Pardon !"

Yvänn avait beau bredouillé des excuses, il ne savait pas si se relever était la meilleure chose à faire...
... Mais si ! Bien sûr que si ! Il fallait se relever !!
Entamant un geste pour se retirer, il fut plutôt surpris quand...

[hs : Hurk hurk ! Après toiii ! xP]

[ca a été plutôt dur pour l'inspiration... Désolé!]]

"Jevoulaistedireque jecroismaisjenesuispasûre maiscommenttedire, jetaime."

C'était sorti. D'un coup.Pour le meilleur comme pour le pire. Lénore attendit, rougissante, consciente qu'Yvänn n'avait pas dû saisir un seul mot de son discours. Aussi le répéta-t-elle, tâchant d'articuler intelligemment les mots qui n'en faisaient qu'à leurs têtes:

"Je voulais te dire que... je t'aime."

Elle ferma les yeux. Non, elle ne voulait pas voir ça. Pourtant, tôt ou tard, elle devrait les ouvrir. Attendre la réaction d'Yvänn, ce garçon à qui elle avait confiée son coeur. Ce dernier battait la chamade, incontrôlable.
Lentement, elle ouvrit ses paupières, ne sachant tpas trop à quoi s'attendre.

[hs : TAAAAAAAAAAAAAAAAAA ! *hurle de rire derrière son écran* MOUAHAHAHAHAHA ! Dieu que c'est bon ^^-]

"Qu.. Quoi ?"

C'était... Non... Il devait être en train de rêver !
Aimer... C'était quasiment improbable que quiconque puisse éprouver ce sentiment pour lui ! Il n'était que... Que Yvänn ! Un jeune garçon à problèmes, timide et coupé du monde... Comment la jolie, douce, tendre et drôle Lénore aurait pu être... Amoureuse de lui ?
C'était impossible ! Il.. Il avait mal compris...
... Et pourtant...
Pourquoi était-il si heureux d'entendre ces mots sortir de la bouche de l'adolescente qui le rendait tout chose dès qu'il l'apercevait ?
Ses lèvres...
Imperceptiblement, ses yeux se baissèrent vers les fines lignes rosées et lisses... Personne n'avait du encore les souilller jusqu'à présent et il n'avait pas envie de transmettre un mal quelconque de cette manière...

Pourquoi pensait-il à ça ?! Il ne pouvait, il ne devait pas l'embrasser !!
Mais... Il en avait si envie...
Une tornade de pensées se livraient bataille dans son esprit embrouillé, et le vainqueur était encore inconnu...
Dire qu'elle était juste là, devant ses yeux, fermant les siens... Presque "tremblante" à l'idée de la réponse.
Yvänn sentit les brins d'herbe sous ses doigts plantés dans le sol... Que faire ? Que faire alors qu'une sueur froide d'appréhension vous coule dans le dos ? Que faire alors que les seuls sentiments que vous connaissez vous effraient ?
A son tour, ses paupières se fermèrent, crispant le voile dissimulant ses yeux de flamme, comme apeuré de ce qu'il allait faire...
Et ce qu'il allait faire, il n'avait aucune idée de ce que ça pouvait être...

"Je..."

Sa voix enrouée était dûe à sa gorge serrée... Sa langue se déliait et entreprenait une réponse que son cerveau n'avait même pas décidé...

"M... Moi aussi ?..."

Cette affirmation ressemblait plutôt à une question. Lentement, il se redressa et, debout, il respira difficilement, encore inconscient de ce qu'il venait de dire, ne voyant même pas que Lénore s'était levée à son tour...

[hs : La suiiiiteuuh x3]

[hs: Tu n'es pas le seul à t'amuser!!! ]

Desserrer l'étau qui cachait ses yeux. Et aspirer une grande goulée d'air frais. Réprimer la joie qui montait en elle, envahissait son corps, la poussait à...
A quoi justement?

Doucement, elle s'approcha du jeune homme et apposa délicatement un baiser sur ses lèvres. Elle se retira précipitement, consciente d'avoir franchie des limites dont elle n'avait pas eu la permission.
Elle n'était plus tremblante, ne se tracassait plus des problèmes que quelques heures encore auparavant, elle trouvait insurmontables. Elle était elle. Et lui, c'était lui. Lénore et Yvänn. Deux noms qu'un amour avait uni. Lénore et Yvänn.

"Je t'aime."

Des mots affirmatifs, une vérité pour le décider à ouvrir ses yeux tremblants. Tout son état d'âme réduit à ses trois mots: je t'aime. Ils signifiaient tout et rien. Ils donnaient un sens à leur présence sur les bords de la Mer d'Argent. Ici et pas ailleurs; aujourd'hui et pas hier. Ils semblaient contenir toutes les vérités, le pourquoi du comment.
Elle baissa la tête. Est-ce possible? Un tel bonheur? Permi à elle, Lénore? Le monde n'était pas si injuste que çà.... Elle l'avait cru, un moment. Mais plus maintenant. Maintenant, sa foi, c'était le jeune homme "tremblant" devant elle. Sa raison d'être. Non, la vie n'était pas injuste. Ce qu'elle lui avait pris, elle lui avait redonné sous une autre forme. Yvänn...

"Ecoute, je..."

A peine voulut-il se justifier, qu'une douceur encore inconnue une seconde auparavant lui baillonna les lèvres.
Ses yeux n'eurent pas le temps de s'écarquiller que, déjà, Lénore s'éloignait... Loin... Elle était beaucoup trop loin... Deux ou trois pas qui lui déchiraient le coeur...
Comme.. Inconscient, le jeune elfe avança de deux pas, son visage se trouvant près de celui de Lénore... Quoique... Une bonne dizaine de centimètres les séparait l'un de l'autre...
Le regard à la fois vide et plein d'émotions, le dos de sa main caressa doucement la joue de Lénore qu'il ne quittait pas des yeux... Celle-ci le dévorait du regard, la bouche légèrement entrouverte, la peau pâle...
Le contact entre sa paume et la pomette de la jeune fille...
Et soudainement, la pluie... La pluie qu'il ne sentait même pas couler sur son visage, trempant ses cheveux, dégoulinant sur ses vêtements...

Posant son autre main de l'autre côté du visage de l'adolescente, celle-ci posa ses doigts fins sur les poignets du garçon qui se trouvait face à elle, complètement perdu dans ses faits et gestes...
Encore incertain, Yvänn suspendit son geste et observa encore quelques instants Lénore... L'attente de celle-ci était palpable... Elle se doutait, et ne savait pas à la fois ce qu'il comptait faire...
A présent sûr de lui et de sa décision, le jeune garçon, encore haletant et effrayé de ce qu'il se passait, rendit son baiser à Lénore, scellant les lèvres de celles-ci avec les siennes...

La pluie...

Une douce chaleur qui l'envahissait peu à peu, chassant la fraîcheur de la pluie. le contact des lèvres d'Yvänn et l'oubli de l'eau qui lui dégoulinait le long du corps.
C'était donc çà le Paradis? Le Walhalla? Le septième ciel? L'Apothéose?... Ces lieux dont on lui avait vanté le bonheur...
Comment savoir? Elle s'était pendant longtemps perdue, étrangère à elle-même. Une ombre, une silhouette, un souvenir...
Mais à présent, elle s'était retrouvée. Elle ne faisait plus qu'une. Comment avait-elle fait pour survivre pendant tout ce temps sans la chose la plus primordiale au monde: l'Amour...?

Leurs visages qui s'écartaient. Un sourire éternel figé à ses lèvres. Et lui, les cheveux trempés par la pluie, mais plus séduisant que jamais. Elle les caressa un instant. Il n'y avait qu'à tendre la main, et pourtant c'était trop.

"Je t'aime."

Comment lui dire autrement? Ces mots, elle les avait dejà prononcés plusieurs fois, mais ce n'était jamais assez. Jamais assez pour décrire ce feu intérieur dans sa poitrine, cette exultation dans son corps tout entier.
Elle voulait rire, pleurer, faire savoir au monde son bonheur; mais au lieu de çà, elle restait immobile, près de celui qu'elle aimait.
La pluie, qui ne s'arrêtait pas, mais dont elle n'avait cure. Et ce visage, ces yeux qui la dévisageaient amoureusement. Le regard qu'elle lui rendait. Le baiser échangé, les caresses timides, et la mélodie de ces trois mots: je l'aime.

Pas de doute. Elle était bien au Paradis.

Anaé s'eloigna du nouveau couple, ainsi que Lim et Kadel.
Eh..Kadel, j'ai gagné le pari, c'est elle qui a fait le premier pas, prepare toi à prendre un bain
Elle se jeta vers lui l'attrapa comme elle put et le porta jusqu'au bord du lac.
Tu es prêt? Attention je crois qu'elle est froide
Elle se pencha un peu de façon à tenir Kadel juste au dessus de l'eau
Pfiou!!! t'es lourd toi tu sais?
Et sur ces mots, la jeune fille le lacha sans aucun menagement. lorsqu'il tomba dans l'eau elle entendit quelques mots peu aimable qui devait s'adresser à elle mais bon....elle l'assumait parfaitement

Naaaaan!!! Espèce de Nimpho!!! Espèce de crotte de dragon, crotte de...
Furieux d'avoir fait un plongeon dans l'eau froide, il sorti du lac, vitesse grand V.
Mais j'ai pas perdu que je sache! J'ai dit "aucun des deux ne fera le pas avant un bon petit moment! Et c'est ce qui s'est passé, non? ALORS ON EST EXECO!!! A TOI DE FAIRE UN PLONGEON DANS L'EAU NYMPHETTE DE MES DEUX!!!
Il se retransforma en elfe, la prit dans ses bras, la serrant bien pour ne pas qu'elle s'échappe, et la lança dans l'eau. Il mit ses mains en visière au dessus de son front et s'exclama:
Ouaii! Trois mètres! Qui dit mieux?

Anaé sortit de l'eau rapidement et regarda Kadel avec un air mchant, trés mechant.
Ca....tu vas me le payer
Elle ferma les yeux et laissa son pouvoir envahir son corp, une lueur beuté emanait maintenant d'elle.
Et soudain, sans que Kadel n'ai le temps de reagir, une immense vague s'approcha de lui a grande vitesse et retomba juste sur lui.
Comme l'elfe l'avait fait, elle regarda et loin avant de dire avec un grand sourire
3 metres 50.....quelqu'un fait mieux
Aprés cette revanche, elle sorti doucement de l'eau, sa tunique se collait à elle, ses cheveux trempé tombaient en cascade sur ses epaules et dans son dos. Elle s'approcha de Kadel et lui tenit la main pour l'aider à se relever
Bon..il vaudrait peut etre mieux arreter la non?
Voyant qu'il refusait sa main elle se pencha vers lui et l'embrassa tendrement
Tu me pardonnes?
Dit-elle en lui lançant un regard digne du chat potté

[mdr: le chat potté dans Shrek!!]
Kadel fit la moue. Elle lui avait donné un baisé oui, et alors? Une vague, Sa vague, l'avait quand même englouti alors...
_Qu'ai qu'en ais à pété de tes bisous! M'en fou, je te pardonne pas!
Il croisa les bras en signe de rebelion. Puis il éclata de rire et l'embrassa à son tour.
Bien sur que je te pardonne ma nymphette de mes deux!
Un grand sourire ilumina son visage. Ca avait été plus fort que lui... quand on cherche, on trouve!

[Quelle culture...je suis impresionée ]

Anaé ne put s'empecher de sourire...même si elle appreciait assez peu le "surnom" qu'avait trouvé Kadel.
Elle frissona
Tu ne connaitrais pas un sort pour nous secher ou au moins me rechauffer...je suis gelée, entre l'eau et le vent...je vais finir en statut de glace moi.
Elle s'assit au coté de Kadel et le regarda
Ca te va bien les cheveux trempé qui tombe dans tes yeux
Dit elle en affichant un grand sourire...même sans ça de toute façon il faisait preuve d'une grande beauté

On reconnait enfin mon irrisistible beauté!
Il éclata de rire et regarda Anaé.
Toi, tu n'as pas besoin d'avoir les cheveux mouillés pour être belle.
Il lui sourit et continua:
Je ne connais pas vraiment de sort pour pouvoir nous sécher tout les deux, mais je vais essayé...
Il se concentra, imagina un courrant d'air chaud et rouvrit les yeux, sa magie prète à l'attaque.
Un courant d'air d'une grande chaleur entoura les deux adolescents qui furent projecté un mètre plus loin. Lorsqu'il se relevèrent, ils étaient sec.
Hurm... un peu brusque comme sort mais au moins on est plus mouillé!

Anaé était tombée sur son epaule, celle que le loup avait mordu. Et sa blessure, reapparut.
C'etait etrange, elle était invisible et ne se faisait pas sentir la plupart du temps..et des fois elle ressortait comme ça sans raison...
J'ai connu plus agréable comme façon de me faire rechauffer mais au moin sça à marché
Dit-elle en grimaçant..Saleté de morsure...
La jeune nymphe se releva et regarda l'état de son épaule, encore une fois deux trous assez profond était là, qui commençait à saigner

Kadel remarqua que la jeune fille avait un problème à l'épaule.
Ca ne va pas Anaé...? My god! C'est quoi ces deux trou qui saignent???
Il prit le bras de la jeune fille et regarda attentivement la blessure. Il rougit de honte en se rapelant qu'il l'avait soidisant soigné. Pourtant la blessure avait refait surface.
Anaé, tu veux que je t'acompagne à l'infirmerie?

Non c'est rien, ça passera...
Je sais pas pourquoi ça me fait ça mais d'ici 5 minutes ça aura redisparu
Elle passa sa main pour enlever le sang qui commençait à perler et s'approcha du lac, entrainant Kadel derrière par la main
Tu m'avais soignée pourtant...et la plupart du temps je n'ai rien , je ne le sens même pas
Elle s'appuya un peu sur lui et regarda le lac. La lumière du soleil se refletait et à plusieurs endroits, des arc-en-ciel se formaient dans les embruns

Quand Yvänn se détacha des lèvres de Lénore, il la regarda quelques instants...
Quelques mèches lui tombaient devant les yeux, gachant légèrement la vue de l'adolescente, mais il n'y fit pas attention... Prenant soudainement conscience de ce qu'il se passait, il passa sur sa bouche de fins doigts hagards et désappointés...
Il ne pouvait y croire... Il l'avait embrassée. Elle ! Lénore...
Il le regrettait d'une certaine manière, mais était heureux comme il ne l'avait jamais été, tel un enfant à qui l'on donne son premier jouet, à qui l'on rend une friandise auparavant confisquée...

"Woaw..."

Ce fut le seul son qu'il était capable d'émettre...
Encore déboussolé par son semblant de courage, il eut un sourire gêné et ne sut trop que faire...
Il ne savait pas, il ne savait plus...
Elle était là, c'était tout ce qu'il comptait...

Il n'y avait rien à faire. A part lui sourire, un sourire qui ne semblait pas vouloir s'effacer de ses lèvres. Un sourire qui démontrait son amour, une preuve indéniable de son état intérieur. Un sourire ébauché par des lèvres devenues saintes, des lèvres effleurées par Yvänn. Deux fois. Deux fois ces dernières avaient canonisé ce sourire.
Jamais deux sans trois! Superstition idiote, mais prétexte, bien que futile, qui pouvait toujours servir.
Non. C'était assez pour aujourd'hui. Elle n'oubliait pas l'état de timidité, presque de honte, qu'elle n'avait laissé derrière elle il n'y a que quelques minutes. Ce n'était plus qu'un souvenir, et pourtant il était vivace.
Elle se contenta donc de se glisser près de lui et de mettre sa main dans la sienne.

Que la Nature semblait en fête! Le lever du soleil leur offrait un spectacle magnifique. Une harmonie de couleurs sur l'eau, un jeu de miroir, une symphonie victorieuse du jour sur la nuit. Victoire éphémère, comme ce rayon qui les entourait d'un halo de lumière.
Oui, la Nature était en fête. Le regard de la jeune fille s'attarda un instant sur Kadel et Anaé, présents sur les berges du lac, livrés à quelques jeux complices.
Vénus semblant flotter dans les parages, entourant ses protégés de petits miracles que l'on n'aperçoit que lorsqu'ils vous sont destinés: une rose en pleine floraison, baignée de lumière; un cygne majestueux troublant l'eau si pure; ou bien encore les nuages enflammés de pourpres complétant ce tableau féerique.

"Merci..."

Un murmure, trahissant une prière ardente. Rien qu'un mot, mais triomphant de toutes les litanies. Merci...