( E.: M. d'A. ) Encore une année... encore un nouveau jour

Un petit cri d'oiseau s'éveilla quelque part. Des gazouillements, timides d'abord, sortirent des feuilles ; puis ils s'enhardirent, devinrent vibrants, joyeux, gagnant de branche en branche, d'arbre en arbre.
Fanyl soudain se sentit dans une clarté ; et, levant la tête qu'elle avait cachée en ses mains, elle ferm les yeux, éblouie par le resplendissement de l'aurore.
Une montagne de nuage empourprés, cachés en partie derrière une grande allée d'arbres, jetait des lueurs de sang sur la terre réveillée.
Et lentement, crevant les nuées éclatantes, criblant de feu les arbres, les plaines, l'Océan, tout l'horizon, l'imense globe flamboyant parut.
Et Fanyl se sentait devenir folle de bonheur. Une joie délirante, un attendrissement inifini devant la splendeur des choses noya son coeur qui défaillait. C'était son soleil! son aurore! le commencement de sa vie! le lever de ses espérances! Elle tendit les bras vers l'espace rayonnant, avec une envie d'embrasser le soleil ; elle voulait parler, crier qelque chose de divin comme cette éclosion du jour.

Elle ferma un instant les yeux, marcha à pas lents et silencieux, et, sentant le poids de l'ombre des arbres s'envoler, elle rouvrit doucement les paupières pour contempler la Mer d'Argent qui étincelait de milles feux devant elle. Parcourue de feu follets affolés, celle ci resplendissait de toute part, semblant appeler tout être vivant auprès d'elle. Un fin sourire étira de nouveau les lèvres de la jeune elfe, qui rabati d'un geste gracieux ses longs cheveux blonds derrière ses longues et fines oreilles, mettant en valeur ses grand yeux verts scintillants. Pour se déplacer ainsi avec tant de légèreté, on ne pouvait pas se tromper sur la nature de sa race - si ses oreilles ne l'avait pas déjà trahis. Pourtant il faut croire que cette jeune elfe s'efforçait de ressembler à ce qui pouvait être un elfe, car elle s'emmela soudain les pieds dans le sable et bien évidemment tomba tête la première. Rien de mieux pour gacher un si beau tableau.

Que voulez vous, Fanyl avait beau être une elfe, elle pouvait parfois être d'une maladresse à la confondre avec une humaine!
La jeune fille grommela, rabati rageusement derrière une oreille une mèches de cheveux clairs qui lui barait le visage, et laissa reposer sa tête sur ses bras en appuie sur le sol. Ainsi allongée sur le ventre, elle ne risquait pas de tomber plus bas. Mieux valait ne pas retenter sa maladresse d'en faire encore des siennes. Elle soupira donc, et admira le lever du jour.

[la première partie du poste n'est pas de moi. C'est tiré d'un extrait d'un livre (que je n'ai pas lu ^^'), mais que j'ai trouvé très beau. A vous de devinez si vous pouvez! Petit indice: l'auteur est du 19ème siècle (yeeess, ça avance pas des masses xDD)]

Un sublime oiseau bleu sur la branche d'un arbre de judée en fleur vien de se posé, il était aussi grand qu'un perroquet et aussi majestueux qu'un aigle royale. L'oiseau ouvrit son bec et une sublime symphonye s'échapa de ses corde vocales. Yama ferma les yeux pour mieux l'écouter, quand sou dain il entendit un rugisement et un son aigue de l'oiseau, mais c'était trop tard, il tomba au sol, les ailes cassées, sautillant pour échaper au prédateur rayeé, qui fondait sur lui et le croqua d'un coup de machoire. Yama mit une main sur son front et baissa la tête, honteux devant la gloutonerie de sa léoparde que venait de manger plusieur oiseux au chant sublime, il la regarda , elle lui sourit de toutes ses dents rouge sang, il vit un bout d'aile dépasser et fut prit d'un haul-coeur.
Sa léoparde ne comprenait pas pourquoi il la trouvait gloutonne, c'était juste son 35 ème oiseux, pas de qquoi faire un drame, bon certes il y avait le sanglier et les trois lapins, mais ça ca ne compte pas! Yama se releva et continua sa route en ignorants les quelques rots succèsisif du félins qui signifiait qu'elle était reput.

Ils arrivèrent devant une étandue de sable fin, blanc et doux. En face la mer d'argent, d'habitude Yama ne vient pas, ne sachant pas nager il ne veut pas prendre de risques idiot. La mer reflaitait les couleurs magique de l'aube. Soudain, une jeune femme arriva, elle tendit les bras vers le ciel, joyeuse, gracieuse et tomba comme une criche sur le sable. Yama ferma un oeil en pensant à la chute de la pauvre elfe. Parcontre, Kaben-hi dût se retenir pour ne rire devant une telle maladresse, sourtout de la part d'une elfe. Yama avanca vers elle qui s'était alongée sur le sable fin, suivit de sa léoparde qui esseyait de contenir un fou rire. Arriver derrière elle, Kaben-hi ne put se retenir davantage et explosa de rire.
Honteux Yama replaque sa main sur son front et baissa la tête pour ne pas voirs son amie se roulait de rire sur le sable blanc.

Fanyl grommela intérieurement, et attrapa une poignée de sable entre sa main droite. Elle la rentrouvrit légèrement, laissant juste assez de place pour qu'un mince filet du même sable s'écoule. Un rire la fit sursauter, et elle lâcha la poignée de sable qui revint à la case départ. La jeune elfe tourna la tête pour apercevoir un grand léopard rire aux éclats, accompagné d'un jeune homme qui semblait géné du rire de son compagnon. Fanyl haussa un sourcil, du genre "ah ouais?", et d'un mouvement ample du poignet, invoqua sa magie. Une gerbe d'eau éclaboussa avec douceur la tête du fier animal. Quoi? Fanyl n'avait pas bronché en se rendant compte que le léopard riait? Bah, on en voyait tellement passer à Lumeinyx aussi! On allait pas en faire tout un drame pour un félin qui riait tout de même!

** Une. C'est une femelle!**

Fanyl soupira. Ce moment de répit... décidément, c'était trop beau pour être vrai. Ygg était bel et bien encore là.

* Quand est-ce que tu va te décider à m'offrir des vacances? Moi je t'en offre si tu veux par contre...*

L'arbre ricanna, mais ne répondit rien. Fanyl leva les yeux au ciel - ça changeait pas de d'habitude finalement - et tourna son regard vers le jeune homme. Elle lui sourit, puis se releva et s'assis en tailleur.

"Je me nomme Fanyl."

[ je suis censé voire l'arbre?]

La jeune elfe fut surprise et envoya de l'eau sur la tête de Kaben-hi qui stoppa net son rire. Elle s'ébroua , plissa les pattes et sauta dans l'eau en arrosant ainsi l'elfe et...malancontruseument Yama. Elle ressorti de l'eau et lui demenda pardon. Yama, les bras écatés, les vêtements trampés se collaient à sa eau révélant ses muscle et les se cheveux noir ében étaient plaqué contre son front.

Il fixa sa léoparde, prêt à lui tordre le cou, quand l'efle décida de se présenter. Horreur, Yama oublia completement la léoparde et ne sut quoi répondre. Son nom aurait été logique, mais il ne put rien dire. Il ouvrit la bouche, mais aucune voix sortait! Ah! il détestait cette timiditée qui l'habitait et refusait de le laisser parler. Il ferma la bouche et tourna légerment la tête.

Yamaneko et moi Kaben-hi! Ravie de te connaître Fanyl elfe maladroite!

Dit Kaben-hi, en se retournant vers la jeune elfe assise en tailleur. Kaben-hi lui sourit de toutes ses canine encore souge sang de sa gloutonerie. Yama se carrésait doucement la tête en regardant à côté et laissa échaper un légé soupir. Puis, apeuré, il mit sa main devant la bouche, ferma les yeux et tendit une joue a Fanyl, persuader qu'il allait recevoir une baffe ou un coup de fouet.

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