Lumeïnyx
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Lumeïnyx

Mage ou sorcier, côté clair ou côté sombre ? Le destin en décidera...
 
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 Un murmure, celui du vent.

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Jibrîl
Loup Solitaire
Jibrîl


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MessageSujet: Un murmure, celui du vent.   Un murmure, celui du vent. EmptyLun 30 Juin - 22:56

D’une voix douce et charmeuse, le vent crachait des murmures apaisants, frissonnants. Le soleil, de sa chaleur divine, surplombait le ciel de sa majesté légitime mais non méritée. Aucun regret, aucune larme ne jaillissait de sa puissance. D’ailleurs, elle sécherait d’elle-même, instantanément. Une main durcit par les cruautés vécues frôla délicatement une surface liquide, celle d’un fleuve.

* Quelle teinte étrange… Ce.. Ce fleuve.. Qui a osé pisser dedans ? *

* Ooooh arrête un peu ! *

Le jeune homme finit par sourire, conscient d’agacer Syph’al, son épée.

* Ca va hein ! Je disais ça pour rire ! Ce fleuve n’est pas normal.. Tu crois que c’est à cause de la catastrophe ? *

* C’est possible. *

Ce fleuve baigné dans le mystère le plus intense finit par se fondre dans le paysage aux yeux du jeune homme et n’avoir plus aucun intérêt.

Jibrîl leva les yeux vers un ciel purifié de tout nuage et savoura les délices du vent sur son visage. Puis, songeant à son passé, finit par se blâmer lui-même et ses actions. Désolé d’être qui il était et surtout ce qu’il était.
Un humain faible. Sans cœur. Manipulateur.
Son souhait était simple : aider à la reconstruction de son monde dévasté par des puissances qu’il ne contrôlerait jamais. Il ne se comprenait plus, il était perdu. Sans son masque, il n’était plus lui. Il était perdu, brisé.

* Non, c’est faux. *

* Tu as sans doute raison. *

* Crois le alors. *

Un silence perçant s’était installé.
Jibrîl s’assit sur un rocher qui obsédait sa vue depuis quelques temps. Son visage était serein, un fin sourire y était même visible. Mais son cœur pleurait… Il pleurait et remplissait ses veines d’une angoisse rongeante, malveillante.

Un esprit fourbe l’avait fait s’élever au point de se morfondre. C’était la peur. Celle de tout perdre. Celle d’aimer et puis d’oublier. Et tant d’autres choses. Ses sentiments étaient cachés à son âme sœur. Ces fils contaminés étaient les siens, Syph’al n’avait pas à en être la mère. Elle devait sourire avec son cœur et non ses lèvres, comme lui. Assez lucide pour savoir qu’elle n’y échapperait pas éternellement, qu’elle voudrait savoir et surtout partager ses souffrances, Jîbril se refusait à cette idée. Il l’aimait. Même si ce n’était qu’une épée.

Un être aquatique quitta la surface liquide aux miroitements d'or, attirant l’attention du jeune homme. Après un bref échange de regard, la créature replongea. Ce court spectacle permit à Syph’al de briser cette quiétude sournoise et fît rire le jeune homme qui désormais s’était écroulé à terre.


[hs : Bien évidemment, ce topic est ouvert à tout le monde ! Il n'y a pas d'histoire prévue ou quoi que ce soit. Alors n'hésitez pas à vous incruster ! Plus on sera et mieux ce sera ! ]
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Eldanòrë
Sorcière - Membre mineur
Eldanòrë


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Localisation : Je vous en ferais la désopilante réflexion lorsque je serais consciente de ma propre présence
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MessageSujet: Re: Un murmure, celui du vent.   Un murmure, celui du vent. EmptyMar 1 Juil - 23:49

El sourit.
Cela faisait maintenant cinq jours qu’elle galopait pour rejoindre Pahiss, la capitale. Cinq longues journées qui la séparait de Kaede et d’Erzyn. Cinq journée qu’elle ruminait de sombres pensées à propos de sa « presque tentative de suicide » et de l’autre imbéc…


*Humhum…Je suis toujours là je te préviens…*

…ile qui lui bousillait les derniers neurones qui lui restait. Il parlait tellement qu’il lui était devenu presque impossible de fermer l’œil la nuit. Ainsi, deux gros cernes violets étaient venus décorer ses paupières bronzée tel deux grands papillons de nuit. Mais elle ne cèderait pas. Si elle relâchait sa vigilance, sûr que Meno en profiterait pour posséder son corps et l’emmener jusqu’au royaume des dieux. Et bon, c’était pas franchement dans ses plans pour le moment. Surtout le passage « dissection en tout genre ». Très peu pour elle.
Sighë renacla une nouvelle fois, comme pour lui rappeler que lui aussi il était fatigué. El lui caressa l’encolure distraitement. Ils étaient bientôt arrivés, dans quelques minutes, ils pourraient tous les deux se reposer à l’ombre d’un arbre. L’été approchait et il commençait à faire drôlement chaud à la surface de Loah. Surtout à cette heure-ci. Heureusement, l’endroit où elle se rendait était assez épargné par les grosses chaleurs en raison du léger vent qui y régnait toujours.
Donc El sourit.
Devant elle s’étendait les longs méandres du fleuve jaune, serpentant dans la plaine à la manière d’une couleuvre. Son nom venait de son étrange pigmentation ocre jaune dont personne à ce jour ne connaissait l’origine. Seulement, presque tout le monde pensait que celle-ci avait été créée par magie. Mais bon, pour sa part, El n’était sûre que d’une chose : jamais elle ne se baignerait dans cette eau bizarre. Même si il était dit qu’elle avait des vertus curatives. De toute façon, de ce point de vue là elle s’en fichait complètement, elle avait « le même à la maison et en dix fois plus pratique ».
El pressa les flans de son cheval et celui-ci recommença sa lente marche. Il avait certes réussis à grappiller une ou deux secondes de repos à sa cavalière mais ce n’était pas une raison pour qu’il se presse tout d’un coup. Dix minutes plus tard, ils avaient descendus la colline et n’étaient plus qu’à quelques mètres de la rive.
C’est alors qu’elle le remarqua. Il était assis en tailleurs sur un rocher, non loin des premières vagues, et semblait regarder dans le vide. Serein. Le voir ainsi fit monter dans le corps de la jeune fille une vague de souvenirs pas si lointains que ça.
C’était il y avait moins d’un mois, au bord de la mer Fantôme. Il était là. Tout comme Jibrîl qu’elle hésitait encore à accoster. D’un geste, elle balaya son image. Ca ne servait à rien de penser sans cesse à lui, il n’apparaîtrait pas pour autant. De toute façon, elle allait l’oublier facilement. Sur son flanc gauche, son sac en bandoulière rebondissant à chaque nouveau pas de Sighë clamait le contraire. Si c’était si facile de l’oublier, pourquoi avait-elle conservé les morceaux du masque qu’il lui avait offert ?
El repensa encore à l’instant où elle avait découvert le superbe masque de chat brisé en trois parties. Tout ça à cause de son inaction lors de sa chute. Elle aurait très bien pu se rattraper au bord de la tour mais non, elle avait dû abandonner tout espoir de vie et se laisser tomber. Quelle cruche alors ! Le seul résultat qu’elle avait réussis à avoir c’était de casser un des cadeaux d’Iswara et de récolter un idiot en prime.


*C’est qui l’idiot hein ? Décidément, tu manques vraiment de politesse Eldanòrë ! Comment Gaïana pourrait-elle avoir besoin de toi ? Ca me dépasse… N’aurait-elle pas pu tout simplement créer quelqu’un un tant soit peu docile ?*

Une nouvelle fois, El essaya d’ignorer la voix mais de nouveau elle ne pu s’empêcher de savourer jusqu’à la dernière note de cette étrange musique. Gaël lui manquait. Presque plus qu’Iswara. Mais lui était mort, il appartenait au passé et elle se devait de faire une croix dessus, de ne plus se faire embobiner par ce dieu de seconde zone.

*Sacrément intelligent il n’empêche…*

El descendit de son cheval gris pommelé et s’avança vers le rocher où se tenait son ami. Tant qu’à faire, autant déjeuner ensemble. L’estomac de la jeune machin-chouette-dont-on-ne-connaît-pas-la-race émit à cet instant un son à la fois étrange et très bruyant qui fit se retourner le jeune guerrier. Elle lui sourit et le rejoignit en deux bonds gracieux.

« Bonjour Jibrîl ! Comment vas-tu depuis la dernière fois ? »

La dernière fois, ils s’étaient quittés le lendemain du départ d’Iswara, Eldanòrë ayant mis ce temps là pour se réveiller. Utiliser autant de magie si brusquement et tout en déjouant le sceau qu’elle s’était posée lui avait soutiré énormément d’énergie. Quand elle avait découvert les cadeaux du loup garou, elle avait tout d’abord hésité à les jeter mais les avaient finalement gardés. Seulement, elle avait enlevé la bague qu’il lui avait mise au doigt. Elle était libre et le resterait. Aussi l’avait-elle simplement glissé sur un fin cordon noir qu’elle avait ensuite attachée à son cou.

*Uhuhuh… Ca attire d’ailleurs joliment l’attention sur ton décolté…

-Ta gue*le gros pervers !*


Dernière édition par Eldanòrë le Jeu 3 Juil - 0:51, édité 1 fois
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Jibrîl
Loup Solitaire
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MessageSujet: Re: Un murmure, celui du vent.   Un murmure, celui du vent. EmptyMer 2 Juil - 20:46

« Bien. »

Sans un sourire, sans un regard.
Pourtant, la joie qui fleurissait en lui remplissait son coeur de reconnaissance. Mais son état d’âme n’en faisait qu’une fleur fanée. Celles dont la beauté n’ont pour témoin que la mémoire du vent. Autant dire personne.
Soucieux de garder ses liens d’amitié avec la jeune femme, Jîbril se retourna et la salua.

« Et toi, tu vas bien ? »

… Une question qu’il se devait de poser. Pour ne pas paraître impoli. Pour ne pas se faire sermonner. Et surtout, pour avoir des nouvelles de son amie. Après tout, c’était le but de la question !

Pour mieux percevoir les caresses d’une brise légère, Jîbril ferma les yeux, attendant que El lui réponde. Les rouvrant brusquement, il se leva d’un bond, faisant face à son amie. Une idée venait de lui traverser l’esprit. Son visage prit une expression terrifiée. Une chose horrible allait se produire. Il sentait une présence mais ne pouvait déterminer sa position. Il devait agir mais il ne savait que faire..

« Tu l’as senti aussi ? »

Face à l’attitude béate de son amie, qui n’avait rien remarqué, le jeune homme eu un sourire non dissimulé. La seconde qui suivit, l’emplacement où il se trouvait était vide. Et d’une voix amusée, il murmura à l’oreille d’El.

« Ca.. »

Il dégaina rapidement son épée mais El s’était déjà éloignée...


* Tu ne changeras jamais.. *
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Eldanòrë
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MessageSujet: Re: Un murmure, celui du vent.   Un murmure, celui du vent. EmptyJeu 3 Juil - 0:49

Elle s’était laissée avoir, comme une débutante. Et elle s’en voulait horriblement.
Elle avait tout d’abord cru qu’il allait pouvoir commencer une petite conversation amicale bien tranquille avant qu’ils n’aillent dîner tous les deux au bord du fleuve. Ca aurait pu être sympa comme ambiance. En plus, vu qu’elle était crevée, elle ne rêvait que de ça. De ça et d’un petit coin à côté du feu de camp pour s’endormir une bonne fois pour toute et retrouver ses forces. Avec un peu de chance elle aurait réussit à ignorer les jérémiades de Meno. Elle aurait rêvé de Gaël et d’Iswara ainsi que de tous ses amis. Elle aurait rêvé au passé…Comme si rien n’avait changé.
Mais non. Jibrîl avait décidé de lui faire chier jusqu’au bout. Bien sûr il avait répondu à sa question et lui en avait même posé une à son tour. Par pure politesse. Et simplement pour le style. El l’avait très bien ressentit. Mais bon, elle ne s’en formalisa pas énormément vu son état de fatigue. Et puis s’ils avaient commencés une vrai conversation, sûr qu’elle serait devenue désagréable et qu’elle l’aurait envoyer balader. Trop fatiguée.
Mais ce n’était pas ça qui l’exaspérait à cet instant précis. Ce qui l’énervait au plus haut point avait commençait quand Jibrîl avait fait une tête bizarre genre « te retourne pas on est suivis ». Le problème c’était qu’ils étaient sur un rocher et que des agresseurs auraient eu beaucoup de mal à les suivre étant donné leur immobilité. Enfin bon, délirer sur les possibilités physiques du verbe « suivre » n’étant pas à l’ordre du jour, El laissa là ces vaines délibérations intérieures.


*Vaux mieux ! C’est carrément louche tes pensées en ce moment. Je ne dis pas que d’habitude ça ne l’est pas mais bon, là ça dépasse les bornes ! Vivement que tu te couche ! Ta cervelle est un vrai foutoir en ce moment…*

Hélas, le jeune guerrier confirma ses pensées quelques secondes après et Eldanòrë regretta aussitôt de l’avoir approché. S’il était pisté par un truc étrange qu’ils allaient devoir combattre, elle aurait dû faire un graaaaand détour histoire d’éviter les ennuis. Mais non, dans la position radar où elle était, elle n’avait rien trouvé de mieux que de se jeter dans la gueule du loup. Mais le pire ! Oh le pire ! C’était qu’elle s’était faite avoir en beauté par ce gamin de seulement deux ans son aîné ! Bon d’accord deux ans c’était deux ans. Ca faisait déjà 730 jours d’expérience de plus mais bon, elle était vraiment nulle de chez nulle !
Alors qu’elle croyait que le danger allait venir de l’extérieur, ça avait été directement de lui qu’il provenait ! Il avait soudain disparu de son champ de vision pour réapparaître dans son dos. Et en plus il s’était permis de lui chuchoter dans son oreille de velours noir. Dans Son oreille à Elle. Et franchement, vu à quel point son ouïe féline est sensible, vous ne saurez jamais à quel points ces quelques mots lui ont vrillés les tympans. Surtout qu’elle s’était hyper concentrée pour déceler le danger potentiel. Bref. Tout ceci pour vous dire que si il voulait se battre, et ba elle allait pas refuser. Pire, elle allait le butter.


*huhu…Tu t’énerve ? Va y avoir du spectacle !

-La ferme ou je t’étripe aussi.*


Avant qu’il ne lance sa première attaque (et bien qu’elle sentit qu’il lui laissait le temps de riposter pour ce premier coup, histoire de ne pas gagner par surprise) El bondit au dessus du rocher et retomba à pieds joints quelques mètres plus loin. Dans sa main brillait la lame aiguisée du poignard qu’elle avait acheté quelques semaines plus tôt. Elle s’en était occupée tout les soir au point qu’à présent, il pouvait couper un cheveu en quatre dans le sens de la longueur (clichééééé !!!). De plus, elle ne s’en séparait jamais contrairement à ses autres armes. Celles-ci n’étaient plus qu’à quelques mètres d’elle, bien confortablement accrochées à la scelle de Sighë. Hors de portées.
El regarda son poignard, puis Jibrîl. Aussi effilé soit-il, elle aurait beaucoup de mal de se battre contre une épée avec son petit couteau. Mais bon, ce n’était pas pour ça qu’elle allait se laisser faire ! Bien au contraire. Elle était jeune, elle était femme et elle n’était peut-être presque pas armée mais elle ne lâcherait pas le morceau. Elle allait le butter un point c’est tout.
Il disparu une nouvelle fois de son champ de vision. El fut une nouvelle fois étonnée par son incroyable rapidité. On aurait dit qu’il se transportait instantanément. Mais cette fois-ci, elle l’attendait. D’un mouvement fluide et précis elle bloqua la lame de l’épée avec son poignard. Puis, avec sa main libre elle fit un magnifique crochet du droit qui vint s’écraser sur le visage du jeune homme. Il l’avait surprise, elle avait fait de même. Maintenant que chacun avait jaugé ce que l’autre était capable de faire, le combat allait vraiment pouvoir commencer.
El se baissa pour éviter une nouvelle attaque et visa aussitôt les genoux. Mauvaise idée. Elle vit trop tard le coup de pied qui vint la cueillir au niveau du ventre. Le souffle coupé, elle roula à terre. Elle se reprit in extremis avant que Jibrîl ne la transforme en steak haché. Etait-il au courant de ses capacités de régénération ou se donnait-il vraiment à fond dans cet « entraînement » ? Quoi qu’il en soit, El n’était pas franchement pressée de le découvrir.
Une fois qu’elle recouvrit une position verticale, El se remit aussitôt en position de combat. Elle avait beau faire la fière et tout ça, la fatigue qu’elle avait ressentit quelques instants auparavant ne l’avait pas quittée. Il fallait qu’elle finisse ce combat, et vite, sinon elle allait carrément s’endormir debout. Son estomac lui rappela que lui aussi existait et la demie elfe ne put s’empêcher de faire un sourire gêné à son adversaire. Ouai bon, elle mourrait de faim aussi. Il fallait bien l’avouer !
Cette fois-ci, ce fut elle qui chargea. Elle lui fonça dessus comme un bélier, déconcertant un instant le jeune homme. El en profita pour feinter vers le bas et bondit dans les airs alors qu’il se préparait à riposter. Elle atterrit juste derrière lui et frappa. Hélas sa lame ne fut pas assez rapide et ne rencontra que l’acier de l’épée de Jibrîl. Ne lui laissant pas le temps de réagir, il l’attaqua à son tour et El eu tout juste le temps de sauter sur le côté pour éviter de finir décapitée. Sur sa joue, une longue estafilade vermeille était apparue.


*Ouuuuh ! Le chie*r ! Il me cherche lui !

-Huhuhu ! C’est du joli ça ! Dommage qu’il ait abîmé ton doux visage. A vrai dire, je n’aurais jamais crut voir un jour le visage de Gaïana, ma maîtresse vénérée etc. avec une balafre ! Huhuhu…*
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